Réunion d’échange sur la procédure administrative et les documents juridiques des EIES en Guinée entre l’AGEE et l’ONG SADD (Togo)

Conakry, 27 novembre 2025 – Une réunion d’échange d’expérience s’est tenue ce jeudi dans la salle de réunion du Directeur Général de l’Agence Guinéenne d’Évaluations Environnementales (AGEE), entre l’AGEE et l’ONG Solidarité Action pour le Développement Durable (SADD) de la République du Togo. Cette rencontre était portée principalement sur La procédure administrative et les documents juridiques des Études d’Impact Environnemental et Social (EIES) en Guinée.

Objectif de la rencontre

L’objectif principal était de partager les bonnes pratiques et les exigences réglementaires relatives à la conduite des EIES en Guinée, afin de renforcer la compréhension des procédures administratives et des instruments juridiques qui encadrent ces études. Cette initiative s’inscrit dans une dynamique de coopération régionale pour améliorer la gouvernance environnementale.

Points clés abordés

• Présentation du cadre légal guinéen régissant les EIES, incluant les textes réglementaires et les rôles des institutions.
• Processus administratif : étapes de validation, délais, et responsabilités des promoteurs de projets.
• Documents juridiques obligatoires : Termes de Référence (TdR), rapport EIES, Plan de Gestion Environnemental et Social (PGES), Plan d’Action de Réinstallation (PAR).
• Comparaison avec les pratiques togolaises et identification des convergences et différences.
• Perspectives de coopération pour harmoniser les approches et renforcer les capacités techniques.

Déclarations des parties

Le Directeur Général de l’AGEE a insisté sur l’importance de la transparence et de la conformité réglementaire pour garantir la durabilité des projets. La délégation togolaise a salué l’initiative et exprimé son intérêt pour adopter certaines pratiques guinéennes afin d’améliorer la mise en œuvre des EIES au Togo.

Conclusion

Cette rencontre marque une étape importante dans le partage d’expertise régionale et ouvre la voie à des partenariats stratégiques pour renforcer la gouvernance environnementale en Afrique de l’Ouest. Les deux parties ont convenu de poursuivre les échanges et d’organiser des sessions de formation conjointes.